Parents & Enfants

Eduquer et Grandir Avec La conscience et l’autocompassion 

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trimestre

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bienveillance

1er programme familial MBGP en France 

 

Nous sommes liés en moyenne 45 ans avec nos enfants, ce qui en fait la relation la plus longue de toute notre existence !

Qui ne rêve pas d’améliorer la relation avec son enfant ? Quel enfant/ado ne rêve pas d’améliorer la qualité de sa relation avec son parent ? Et la relation avec soi-même ?

N’avons-nous pas alors quelques heures de notre vie à consacrer à cette relation fondamentale, source de difficulté, mais potentiellement source de tellement de joie, connexion et amour ?

Dans la relation parent – enfant, l’enfant à lui aussi des sensations, des émotions et des pensées .. comme nous. Et la connexion, la sécurité et les ressources passent par cette reconnaissance.

Ce programme, côte-à-côte avec nos enfants, c’est répondre ensemble à « l’indisponibilité du monde » (Hartmut Rosa), qui donne parfois un sentiment de grandir au milieu d’un grand vide : c’est offrir à notre enfant les 21 compétences psychosociales dont il a besoin pour devenir adulte.

Engageons-nous ensemble pour une vie reliée  et bien humaine .. juste là tout près, chez nous dans la famille !

  • 1 adolescent sur 2 souffre de symptômes d’anxiété ou dépressifs (ipsos 2022) 50% 50%

MBGP *

« Mindfulness

Based

Growing Up

&

Parenting »

« Autocompassion et Conscience
dans la relation à soi et à l’autre
au sein de la famille »

L'intention du programme →
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    « L’intention derrière ce programme  « 

    Il existe beaucoup de programmes de méditation adultes (et nous les animons), il existe plusieurs programmes de méditation enfants (et nous les animons aussi !) et il existe quelques ateliers courts où parents et enfants peuvent se rencontrer un instant autour de la pleine conscience ..

    MAIS il n’existe pas de programme long qui permette véritablement la transformation où Parents ET Enfants sont présents, et il n’existe pas encore à ce jour de programme d’autocompassion en pleine conscience pour enfants puisque je suis la 1re francophone formée au MSC Teen / Adolescents auprès du CMSC (Centre de Mindfulness et Self Compassion) de San Diego (UCSD) et je me réjouis de transmettre l’autocompassion.

    Pourquoi vouloir réunir parents et enfants sur cette durée et cette profondeur ?

    Parce que … ou pour que …

    • Le monde est devenu tristement « indisponible » ce qui génère une énorme perte de sens à la vie pour les jeunes générations. Or la famille et la communauté offrent une grande sécurité. Réunissons-nous !
    • Il est si facile d’oublier – pris dans nos pilotes automatiques et dans la rapidité du monde – que dans les douces profondeurs – chaque être besoin a besoin de connexion. Encore et encore
    • Nous souhaitons tous des liens familiaux épanouis, de l’amour, de la sécurité et du lien, et nous avons tous envie d’en offrir avec notre bienveillance innée. Mais nous n’avons pas toujours eu l’opportunité de recevoir ou d’apprendre
    • Nous ne savons pas tout ! Les recherches récentes nous aident à promouvoir ces ressources en les validant, et en identifient bien les besoins des adolescents auquel ce programme vient parfaitement répondre.
    • C’est un cadeau pour un enfant, un programme éducatif expérientiel pour apprendre « ensemble ». Enfant qui gardera toute sa vie ces ressources pour sa construction émotionnelle et se protéger de l’adversité.
    • Les enfants sont étonnement peu pris en compte de nos jours (chaque parent faisant de son mieux avec son propre stress) alors que nous avons désormais l’éducation et l’information suffisantes pour nous tourner vers ces relations connectées.
    • Nous cloisonnons déjà tellement nos vies : parents d’un côté (professionnellement, amicalement, tâches domestiques, temps libre, temps de méditation), enfants de l’autre côté (école, rdv médicaux, jeux entre amis, sport, couché plus tôt, repas parfois décalés…). Pourquoi ne pas apprendre « notre humanité » ensemble ? Enfin un processus d’apprentissage COMMUN. Un « nous » au lieu d’un « moi, je » et « toi, tu »
    • Ce programme propose une réciprocité fondamentale dans le lien. Il n’y a pas que le parent qui agit, qui gère, qui doit assurer ! Nous savons que l’adolescent a besoin de responsabilité pour être heureux. En voilà une toute précieuse : j’ai aussi une responsabilité dans le lien qui s’établit dans un groupe famille « au mieux de mes capacités ». Heureusement, j’ai aussi des ressources incroyables que nous allons découvrir pour soutenir ces responsabilités. Cela donne un sens, une motivation familiale.
    • Nous avons besoin de (re)connaitre nos potentiels à chaque âge et nos ressources. Dans ce programme, nous explorerons la différence dans la construction neurologique des enfants / adultes, et ainsi éviter la culpabilité qui génère beaucoup de souffrance – ou un acharnement parfois fatiguant à essayer d’obtenir des comportements qui ne sont pas en phase avec le développement de l’enfant.
    • Pas si simple de retirer des programmes adultes des ressources concrètes pour la relation parents-enfants. C’est bien normal car l’enfant n’y appréhende pas directement l’universalité, les défis, les luttes ou les vulnérabilités de ses parents, nécessaire pour cultiver la compassion. L’enfant est privé d’une part de l’information, de la réalité – celle que « mon parent est plus ou moins « comme moi », avec ses luttes et ses modes de réactivités. Et que c’est OK !
    • Dans ce programme, il ne s‘agit pas de « bien élever » ou « faire bien » ou être « bien conscient ». Il s’agit de se tourner vers l’humanité entière d’un être qui vient au monde, par-delà la notion de droits et de devoirs (sécurisante aussi par ailleurs). Et de regarder avec la même humanité ce parent qui fait de son mieux dans des contextes personnels, et s’ouvrir à la compassion pour ces rôles pas si faciles. Pas facile d’éduquer ! Pas facile de grandir ! C’est un programme de COEUR, et pas uniquement de gestion du stress.
    • C’est une aubaine de pouvoir commencer à pratiquer la pleine conscience le plus tôt possible, à un âge où le cerveau évolue encore. La méditation pleine conscience permet de faire confiance à ses propres ressources naturelles pour prendre soin de nous, préparant ainsi la vie de jeune adulte. C’est une pratique fondamentalement douce pour nous-mêmes, qui encourage curiosité et ouverture d’esprit, ce qui est stimulant à un âge où l’on a la vie devant soi
    • L’autocompassion va venir apporter un tel soutien aux adolescents par l’exploration du critique interne qui nous brutalise sans cesse, et qui a une telle force de nuisance dans un monde où nous sommes sans cesse comparé, jugé, (sous-sur)évalué, avec des injonctions qui dépassent de loin ce qu’une personne est capable de réussir (tout en se protégeant du surmenage)
    • Un « enfant » de 40 ans peut encore avoir envie de liens riches et sincères avec son parent. Nous n’arrêtons pas d’être « enfant de » avec l’âge ! Cette transformation du lien s’inscrit et se savoure donc dans la durée.
    • C’est un projet qui me tient à cœur depuis longtemps, suite à une prise de conscience personnelle très jeune que, en tant qu’enfant, parce que je comptais aussi, je souhaitais être vue et reconnue. Non pas libre de faire ce que je voulais, ou d’agir comme je le voulais, mais d’être entendue dans ce que je pouvais ressentir, traverser, parfois avec une grande intensité. Juste me sentir rassurée, encouragée, validée comme quoi les choses étaient ce qu’elles étaient, mais que moi j’étais adéquate, normale, humaine. Ma vie entière semble avoir été vouée à cette recherche, qui par des chemins détournés m’a guidée jusqu’à la découverte de ce que cherchait – et qui s’appelait de l’Autocompassion (s’offrir tout cela à soi-même quand ce n’est pas disponible à l’extérieur).
    • Je nourris l’envie que tout jeune puisse s’offrir cela car grandir c’est difficile. Je nourris l’envie que tout adulte puisse s’offrir cela car éduquer c’est difficile.
    • ENFIN, parce que l’autocompassion est une émotion « POSITIVE » qui permet de cultiver la joie et la gratitude ! et qu’il est important qu’elle soit incluse dans les accompagnements. Saveur et gratitude seront au programme 🙂
    La pleine conscience ne suffit plus ... vers l'autocompassion →
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    « Parce que la pleine Conscience ne suffit plus – 1er programme familial en-ligne en France à proposer de la pleine conscience et de l’autocompassion pour enfant »

    Il existe des programmes de pleine conscience pour enfants (et adultes) que nous enseignons en collège ou en groupe privé depuis plusieurs années, et ils sont merveilleux .. mais depuis que nous enseignons aussi l’autocompassion pour les adultes avec le programme MSC depuis 3 ans (nous faisons partie des 1res instructrices MSC formées en France en 2020) nous sommes subjuguées par la force de l’autocompassion au quotidien pour nous apporter des ressources si intuitives et si puissantes. Et ce sont les retours de nos participants qui témoignent, qu’au delà des programmes types MBSR, MBCT, l’autocompassion est la vraie cerise sur le gâteau, car elle invite à explorer « comment je me traite » quand c’est difficile pour moi (et généralement « pas bien du tout ») et aborder ma voix critique et jugeante, ce qui n’est pas abordé dans les programmes de pleine conscience.

    Cela est une telle source de réconfort d’être capable de transformer sa voix critique en voix compatissante, que ces explorations sont indispensables quand nous abordons la notion de stress et de souffrance. Nous négligeons souvent qu’une énorme partie de notre stress provient de notre voix critique intérieure.

    Nous avons donc commencé à inclure dans nos enseignements pour adolescents certains exercices qui résonnent vraiment profondément chez eux aussi.

    La pleine conscience ne se tourne pas vers la ressource, elle nous demande: « quelle est l’expérience là ? » Alors que l’autocompassion, grâce à la conscience de l’expérience, nous permet d’aller plus loin et de nous demander: « quel est mon besoin là, dans cette expérience difficile ? »

    La pleine conscience nous permet de « reconnaitre », l’autocompassion de nous « sécuriser ». 

    L’autocompassion c’est s’offrir encore plus de ressources, surtout à un âge où il est indispensable de s’offrir une voix compatissante qui nous accompagnera en grandissant tout le long de notre vie.

    Notre environnement assez compétitif fait que souvent nous sommes en lutte, nous cherchons à devenir parfait, à contrôler, à tout réussir, et forcement .. nous échouons ! car il est impossible d’être infaillible. Et ces échecs génèrent (assez tôt chez les enfants) un manque de confiance en soi qui peut devenir paralysant. L’autocompassion va venir nous offrir beaucoup de douceur intérieure vis à vis de cela, rétablissant ainsi un lien émotionnel sécurisé avec nous-mêmes, nous permettant d’avancer sereinement dans nos projets.

    Cette envie de partager l’autocompassion avec les enfants m’a poussé à me former pour le programme MSC Teens (anciennement Befriend Yourself) – autocompassion pour les adolescents. Cette formation est disponible pour l’instant uniquement aux Etats-Unis avec le CMSC.  Je suis la 1re francophone formée à y être formée, et je me réjouis de transmettre l’autocompassion.

    Parents-Enfants : tellement de points communs →
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    « Parce que le sentiment de séparation est si présent qu’il nous fait oublier nos points communs « 

    Nous opposons trop souvent parents et enfants, comme s’il était impossible de se rapprocher. Nous oublions ce bel enseignement de l’autocompassion .. l’Humanité Commune. Au-delà de toutes nos différences, cet inaliénable point commun : nous sommes des êtres humains qui essayent juste de vivre heureux et de faire de notre mieux !

    Ce programme, ce n’est pas juste destiné à devenir conscient, ni à avoir une panoplie d’outils. Ce programme est conçu comme vecteur de lien familial où chacun à sa place entière d’être humain – ni parfait ni imparfait – pour accéder à une connexion entre parents et enfants. Chacun fait de son mieux dans la famille .. « pas facile d’élever !«  diront les parents .. « pas facile de grandir ! » diront les enfants .. et tout le monde a raison. Nous rassembler autour de cette conscience là .. « pas facile » mais avec l’émerveillement pour toutes ces ressources qui existent et qui nous permettent de dépasser cela « ensemble ».

    Avant nous avions peut-etre 3 choix :

    Option 1 :  le parent médite et « cherche des solutions », prend toute la charge mentale, a des difficultés à transmettre en individuel à la maison (c’est bien normal) et s’épuise car l’enfant est exclu du processus à la base.
    Option 2 :  le parent offre un programme de méditation court à son enfant / du soutien psychologique (et c’est déjà génial évidemment – à continuer !) mais cela ne s’inscrit pas toujours dans le temps, et cela n’apporte pas de langage ni de processus commun dans la famille.
    Option 3 : ne pas se tourner du tout vers ces pratiques de soutien scientifiquement prouvées et conseillées dans les recherches (par manque d’information, de temps, de recul ..)

    Avec le programme MBRG, nous offrons une autre possibilité .. le « NOUS » qui permet la profondeur du lien.

    Pas de « mauvais parents », pas de « mauvais enfants » dans ce programme, simplement des individus curieux en recherche de croissance, d’épanouissement, et de bien-être. Félicitons-nous alors déjà pour cela 🙂

    « Parce que nous cherchons du lien et de la connexion »

    avec nos pairs (autres enfants – autres parents) dans l’accueil de nos vulnérabilités, et nous ne parlons pas de nos vies, mais de nos expériences (humanité commune) ce qui renforce le lien de groupe et permet à un enfant et à un parent d’être dans le même programme.

    N’oublions pas que les enfants d’aujourd’hui sont les parents de demain ! 

    Les défis de la jeunesse ont changé →
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    L’adolescence : une mutation dans une société elle-même en mutation

    « Nos défis contemporains sont étudiés comme étant extrêmement déstabilisants et générant une grande menace intérieure. Les chercheurs appellent cela VUCA (Volatile – Uncertain – Complex – Ambiguous) Pour eux, ce type de menace est la plus difficile à gérer pour notre cerveau qui cherche en permanence des « solutions », alors que l’interconnexion de notre époque rend ces solutions trop complexes et hors de notre contrôle. Ceci nous insécurise au plus haut point et nous fragilise. Et un enfant n’ayant pas encore toutes les connexions neuronales permettant la recherche de ressources avec recul et discernement, cela l’affecte profondément.

    • Accepter des modifications corporelles (comparaison sociale – discrémination – harcèlement – rumeurs – isolement – solitude – création d’une « identité » perçue)
    • Créer liens sociaux significatifs (amitié – intégration – appartenance – pairs comme influence) avec la recherche de la confiance des parents. Communication parfois difficile (sentiment d’être incompris, solitude, honte) – manque de repères – manque possible de disponibilité des parents – moins de liens familiaux stables (distance géographique – télétravail et horaires denses – séparations/divorce – parents en déplacements fréquents)
    • Se former et se qualifier (anxiété – peur de jouer son avenir – sentiment d’incompétence – stress des exigences – peur de decevoir – inondé par le travail – manque d’humanité à l’école : accent sur les compétences et non pas leurs ressentis – sentiment de pression accru pour « réussir » – situation d’échec scolaire qui vous définit)
    • Manque – ou – trop d’informations – manque de soutien – peur du futur – éco-anxiété – surabondance de la technologie/des écrans –  virtualisation du monde et des liens – tyrannie de la comparaison des réseaux sociaux, – baisse de l’estime de soi – difficulté à trouver du sens dans cet inconnu devant nous – contre-coup de la pandémie – confiance en soi réduite.
    • Augmentation du harcèlement et des rapports de force conduisant à une hypervigilance – sentiment de vivre dans un monde de moins en moins sûr – où il faut être « soit fort, soit exclu »
    • Développer son propre style de vie approprié (alimentation , sport, média, sommeil)
    • Développer son système de valeurs et s’engager (ne pas se sentir écouté à cause de son jeune âge – se sentir comparé avec frères / sœurs – comment être un citoyen pris en considération)
    • ….. et aussi tous les contextes personnels qui peuvent nous affecter en plus, et qui forment des menaces pour notre sécurité émotionnelle.

    En cela encore un point commun : c’est désarmant pour nous, c’est absolument désarmant pour nos enfants. Pourquoi ne pas nous soutenir mutuellement dans cette recherche de stabilité.  Ce programme va cultiver des ressources d’apaisements.

    Un joli diction amérindien nous rappelle « Il y a besoin de tout un village pour élever un enfant »

    Nous créons dans ce programme une communauté d’apprentissage intergénérationnelle, nourissant la même intention quelque soit notre âge. C’est un vrai soutien : la communauté soutient, rassure, motive !

    Ce n'est ni un coaching, ni une thérapie familiale →
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    « Parce que le coaching familial et la thérapie c’est autre chose « 

    Dans ce programme, nous ne chercherons pas le « pourquoi » de nos problèmes, nous cherchons des stratégies pour avancer !

    Dans le coaching familial, nous restons dans le modèle de notre « famille ». Ce programme offre la richesse de partager l’universalité de nos familles – cette humanité commune qui fonctionne comme un soutien puissant dans les programmes MSC – dont nous sommes privés lorsqu’il n’y a  plus de groupe. « Ah mais je suis un ado comme les autres ! Ah mais mes parents sont en fait comme les autres ! Ah mais mon enfant ressemble juste à tous ces enfants ! » etc .. Que c’est bon de sentir notre parfaite « normalité » dans les défis ! 

    Il ne s’agit pas d’un coaching qui prodiguerait des conseils d’éducation, encore moins d’un espace de jugement sur ce que vit chaque famille. Il s’agit d’un espace d’apprentissage par l’expérience avec des partages sur les pratiques et exercices qui seront proposés en séances, et hors séances. La pleine conscience et l’autocompassion sont non jugeantes avec l’expérience. Que c’est bon de partager un ressenti sans conseil ni jugement ! 

    La thérapie explore plutôt de vieilles blessures, alors que nous posons des ressources. Là où la thérapie explore le passé et le futur, nous construisons la ressource au présent. Là où la thérapie se tourne vers une histoire, nous nous tournerons vers un fonctionnement, un processus.  Et ici personne à changer ou à guérir !

    Et ..  ce n’est pas un programme où je « traine » mon enfant pour qu’il s’améliore, devienne meilleur,  ou me rende la vie plus simple ou agréable ! C’est un programme où j’invite mon enfant à passer un temps de qualité pour cultiver ensemble une pratique (adaptée à son âge) qui soutient tous les êtres humains, qu’il va avoir la chance d’expérimenter à son jeune âge, en rencontrant d’autres jeunes, et emportant avec lui des ressources pour toute sa vie.

    « Parce toutes recettes et techniques que nous cherchons pour « améliorer » nos enfants ne fonctionnent pas ! « 

    Tout ce que nous essayons de transmettre par les livres , les cartes à jouer, les audios, les délégations, les injonctions, les conseils  .. n’a pas véritablement vocation à fonctionner, mais plutôt à offrir de la compréhension cognitive. Mais cette compréhension là ne permet pas véritablement le changement.

    Nous éduquons par le modèle, et nos neurones miroirs intègrent par le modèle et la conscience du ressenti. Pratiquer ensemble est la meilleure façon d’activer ces neurones miroirs ! Notre pratique c’est de savoir ce que nous ressentons et d’y répondre au mieux, et pas forcément d’analyser, comprendre, juger, se critiquer.

    La vraie force de ce programme, c’est la répétition des séances et des pratiques qui va permettre sur 5 mois des transformations grâce à la grande plasticité cérébrale de nos adolescents.

    Contenu et format ?
    Q

    La présence du parent est obligatoire à chaque séance.

    La présence de l’enfant est très vivement encouragée à chaque séance (avec la possibilité de s’adapter au rythme de l’enfant sur la durée, au contexte familial ..  ) puisque l’apprentissage se fait principalement par l’intégration en séances, avec les exercices et les partages.

    Ce programme inclut :

    • 10 séances collectives hebdomadaires de 1h30 (soit 15h ensemble) 

    • Les séances sont progressives et éducatives, et proposent des points d’avancement au sein d’une communauté de soutien et d’apprentissage.
    • Les séances contiennent des moments d’exercices pratiques, des contemplations courtes  (assises ou en mouvements), des enseignements ludiques et adaptés, des histoires, des vidéos partagées autour des thèmes, des partages en petits groupes, des partages en grand groupe, et d’autres expériences surprenantes !
    • Les séances couvrent une 15aine de thèmes (notre fonctionnement humain, l’attention, les ruminations, le corps, le stress, la communication, le critique interne, l’estime de soi, les réseaux sociaux, les valeurs et les besoins, les émotions, la confiance, le cerveau, la bienveillance, la gratitude, le bonheur etc ..)
    • Chaque séance propose 5 à 6 ressources de formes variées dans lesquelles vous pourrez piocher en fonction de vos préférences 
    • Des supports, des documents, des audios, et des exercices pour explorer et approfondir à la maison sont remis entre les séances, ce qui permet une véritable intégration et progression.
    • Le format s’adapte à tous les besoins de par sa grande variété, il offre environ 60 ressources (méditations courtes, exercices, pratiques de découvertes informelles, histoires et vidéos)
    • Un atelier découverte du programme en-ligne offert, et un entretien individuel

    Le programme « Éduquer et Grandir Avec La conscience et l’autocompassion » est un programme structuré, progressif et éducatif que nous avons conçu à partir de notre expérience approfondie des programmes ayant fait leur preuve depuis longtemps (MBSR-MSC-MSC Ado) . Ce programme permet de découvrir ou d’approfondir à tout niveau d’expérience et d’âge, et de développer son propre soutien émotionnel pour vivre enfin pleinement dans la relation à soi et dans la relation « Parents-Enfants ».

    Son apport unique est celui de l’autocompassion, qui génère le plus de ressources intérieures grâce à la transformation de notre voix critique en voix compatissante.

    Pourquoi est-il si « long »? .. car comme tous les programmes basés sur la pleine conscience (MBSR-MBCT-MSC-MBCL-MBCP ..) il a été démontré que le cerveau a besoin de temps, de répétition, de régularité et de séances longues pour pouvoir changer nos modes de fonctionnement et établir des habitudes saines. Nous avons derrière nous des années de fonctionnement automatique vis-à-vis du stress et de la voix critique – temps et patience sont enfin remis à l’honneur !
    D’autant que nous savons que les prédispositions génétiques ne jouent qu’à 40% dans la structuration du cerveau à l’adolescence. L’éducation peut donc soutenir la maturité cérébrale de notre enfant.

    Et le format en-ligne ? Ce format peut-être discutable pour certains. Il a néanmoins bien des avantages que les participants soulignent : permettre ce genre de rencontres et de programmes, élargir le profil des participants, économiser des temps de trajets précieux, avoir la souplesse de se joindre ou de s’éloigner de l’écran quand nous en avons besoin. Et surtout, une adaptation de ce programme pour le rendre attractif et agréable en ligne (des vidéos, des partages etc ..) pour permettre vraiment le lien dans le groupe. Si vous doutez, venez découvrir notre atelier découverte offert en ligne ! Possibilité d’avoir un parent et un enfant qui partage le même écran.

    Nul besoin d’être assis en tailleur sur un coussin paumes levées vers le ciel ! La pratique de la pleine conscience c’est juste d’être présent, assis sur une chaise est parfaitement suffisant 🙂 

     

    Pour qui ?
    Q

    Le programme s’adresse à tout adulte / enfant-ado désireux d’améliorer ses relations familiales – ainsi que la relation à soi-même – et de s’impliquer sur le temps et la régularité tout en bénéficiant du soutien d’un groupe. Les études montrent que le lien avec ses pairs (adulte ou ado) est hautement indispensable dans la notion d’apprentissage et de bien-être, et que les bénéfices de la PC et de l’AC se déploient avec le temps de pratique.

    Il n’est pas nécessaire de se sentir « mal » pour venir dans ce programme. En pleine conscience nous disons souvent « on n’apprend pas à surfer en haut de la vague .. mais avant ! » même si nous – ou notre enfant – avons la chance de ne pas être face à l’adversité en ce moment, il est possible que, comme dans toute vie humaine, cela arrive et mieux vaut y être préparé.

    Ce programme est conseillé pour les enfants d’environ 13 à 17 ans (à discuter selon la motivation, la maturité de l’enfant et son expérience de la pratique) Pour un enfant plus jeune, le programme va véritablement offrir des outils pour se préparer à l’adolescence. Tout autant, un jeune peut aussi avoir besoin de ces ressources bien avant l’adolescence ! Toutes les explotations proposées peuvent être comprises à différentes profondeurs selon nos âges.

    Il n’est pas obligatoire d’avoir déjà pratiqué la pleine conscience ou l’autocompassion – ni pour les parents, ni pour les enfants – et ceux qui pratiquent déjà soit la PC soit l’AC sont tout aussi bienvenus pour approfondir ces pratiques et les orienter d’une nouvelle façon : dans la relation avec l’enfant.

    Ce programme est aussi destiné aux parents séparés qui auraient une garde alternée et qui sont chaleureusement invités à se joindre aux séances du programme, en alternance, tandis que l’enfant pourra lui toujours être présent.

    Le programme est possible quelque soit votre condition physique.  Chacun sera encouragé à vivre sa pratique en fonction de ses limites en privilégiant le fait de prendre soin de lui.

    Il est possible de participer à ce programme tout en bénéficiant d’un accompagnement thérapeutique et psychologique, cela peut être un bon complément.

    « Es tu parfois stressé ? » .. tout parent /enfant qui répond « oui » à cette question à sa place dans le programme ! Tout parent / enfant qui répond « non » à cette question n’a pas encore conscience de la forme que prend le stress ni comment y répondre .. et à donc toute sa place dans ce programme ! 
    Contre-indications : 
    Il existe des situations où les participants (parents ou enfants) sont encouragés à consulter un professionnel de santé ou un psychiatre ou psychothérapeute plutôt que de s’engager dans un programme. Dans ce cas, les participants sont encouragés à reporter leur participation au cycle.

    Parmi ces situations on peut citer : une dépendance accrue à une substance ou à l’alcool avec moins d’un an de sobriété, des pensées suicidaires ou des tentatives de suicide, un traumatisme récent ou non résolu, une phase dépressive ou bien d’être en train de vivre des changements très importants dans sa vie.

    L’intention est que ces participants puissent un jour suivre un programme d’auto-compassion quand ils auront trouvé un accompagnement approprié et qu’ils pourront bénéficier pleinement des pratiques proposées.

    Mon enfant ne veut pas venir ?
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    Il est bien envisageable que notre ado ne soit pas en demande consciente de ce genre de programmes à son âge, parce qu’il ne les connait pas, et parce que son esprit fougueux recherche à cet âge plutôt de l’action et du divertissement. Et nous mêmes adultes, avons nos propres freins face aux pratiques de pleine conscience !

    Plusieurs freins légitimes peuvent s’élever .. et quelques pistes de réponses possible à discuter  ..

    Je manque de temps, je suis dejà stressé  .. justement, ce programme offre des ressources pour ne plus subir son stress. Généralement, personne ne nous apprend à gérer notre stress, et il est nécessaire de sortir du cadre scolaire pour avoir ces outils indispensables. Des outils pour la gestion du stress vont nous faire gagner « beaucoup » de temps en grandissant.
    Je suis super fatigué .. le stress fatigue énormément. Là encore, il est vital de s’offrir des outils qui permettent à un enfant / ado de continuer à traverser toutes les sollicitations auxquelles il doit fait face. De plus, la souplesse du programme permet à l’enfant de ne pas assister à la totalité de la séance s’il est trop fatigué car nous prenons bien sûr en compte cela. Ce sera alors au parent de retransmettre le contenu à son enfant.
    Ca va être ennuyeux à mort .. ah bon ?! heureusement que les programmes enfants / ado n’ont pas le même contenu que les programmes adultes, ils sont ludiques, et avec des séquencements courts, des pratiques courtes, et certains exercices rigolos. Nous savons que la capacité d’attention n’est pas la même et que l’enfant a besoin d’intérêt. Dans les programmes que nous animons, ils en redemandent !
    Ca sert à rien ces trucs là ? C’est des trucs bien nuls de parents .. ah bon ?! peut-être discuter de la notion de curiosité, de nouveauté, d’élargir ses centres d’intérêt, de découvertes. Et aussi de mettre en avant la chance qu’est réellement de commencer à un jeune âge, pour s’offrir une zone de sécurité que tellement d’adultes auraient rêvé de se voir proposer dans leur jeunesse. C’est à cet âge là que le cerveau organise les informations qu’il va garder pour plus tard, c’est donc l’âge idéal pour ce genre de programme.
    Je suis trop timide, je ne veux pas être en groupe … c’est vrai, il faut du courage. Ces programmes permettent vraiment de nourrir les qualités de courage et de confiance. Un cadre de sécurité est systématiquement posé en début de programme pour les partages et les expériences. C’est ce cadre qui va permettre à chacun de se sentir en confiance dans le groupe (confidentialité, bienveillance, non jugement etc ..) Chacun prendra aussi la place qu’il souhaite, il n’y aura jamais d’obligation à s’exprimer, et les personnalités introverties ou extraverties pourront harmonieusement co-habiter.
    Ca me fait peur, je n’ai pas envie d’étaler ma vie à des inconnus … ça tombe bien, car l’intention n’est pas du tout de partager nos vies personnelles et nos histoires. Nous ne communiquons que par rapport à nos expériences de pratiques et de découvertes dans nos exercices, et les enfants sauront faire cela très naturellement.
    Je n’ai pas du tout envie de passer du temps avec toi … c’est normal, l’enfant peut avoir envie d’explorer seul ces territoires et peut être à un âge où la séparation fait partie du processus de construction. Néanmoins, il est difficile d’accéder seul à ces programmes, et là, justement, l’intention est de dire « si nous passons peu de temps ensemble, autant que cela soit pour un moment utile à nous deux et qui nous apprend à être ensemble « autrement ». D’ailleurs, l’enfant sera intégré au groupe donc il sera avec « d’autres » et non pas seulement avec le parent, et il apprendra beaucoup des autres enfants.
    Si tu veux vraiment me faire plaisir, on peut faire 35h de Nintendo switch à la place ! .. ah bon ?! bien sur l’intention est aussi de nourrir ce temps passé ensemble. Néanmoins, toute autre activité qui offre un moment de plaisir, de joie (tout en étant importante aussi) ne vient pas nécessairement construire la ressource ou la stabilité intérieure dont l’enfant aura besoin en grandissant. Peut-être la différence entre satisfaction et ressource émotionnelle intérieure. Quand le programme est fini, il reste la ressource.
    J’en ai marre des écrans  .. Peut-être aussi voir si sur cette période donné, l’enfant pourrait avoir moins recours aux écrans, et rappeler qu’il y a toujours la possibilité de ne pas regarder l’écran pendant certaines pratiques et la souplesse de surveiller son confort.

    Vous avez la possibilité de nous appeler, si l’enfant a besoin d’être rassuré sur le cadre sur certains points. Dans tous les cas, l’intention n’est pas de forcer l’enfant à se joindre à un programme auquel il ne souhaite pas participer.

    Peut-être un coup d’oeil sur les retours des enfants qui ont pu participer à des programmes à l’école dans l’article journal ci-dessous. Des retours assez touchants de ce que les enfants amènent avec eux à la fin de ces programmes. .. le goût de vivre !

    Et aussi : demandez à l’enfant ce qu’il pense que cela pourrait lui apporter à lui, si son parent pouvait éduquer avec conscience et compassion ? Et là, les réponses devraient venir ! car c’est un programme aux bénéfices réciproques.

    Vous pouvez aussi discuter des besoins fondamentaux à l’âge adolescent en vous référant au document ci-dessous car parfois l’enfant n’a pas conscience de ses propres besoins et cette information est là pour nous aider.

    Pourquoi j'anime avec conviction ?
    Q

    Pourquoi j’anime avec conviction ce programme ? 

    • Parce que je  suis formée en présentiel au MBSR – MSC – MSC Ado et membre de l’ADM et du CMSC
    • Parce que j’ai des années d’expérience d’enseignement de la pleine conscience avec les adultes et les enfants / adolescents au collège et en groupe privés, que j’y prends beaucoup de plaisir, que j’identifie l’énorme besoin des enfants, parce qu’ils trouvent cela si soutenants et que le corps enseignant confirme tous les bénéfices.
    • Parce que je suis de près l’évolution de la santé mentale des enfants-ado, à travers conférences, séminaires et documents et que je souhaite être au service de cette population
    • Parce que toutes les thématiques nécessaires pour vivre « heureux » sont abordées.
    • Parce que depuis plusieurs années certains parents de mes programmes adultes me le demandent.
    • Parce qu’il y a urgence à soutenir nos enfants dans un monde difficile (qui en doute encore ?)
    • Parce que j’ai des enfants ! Et que c’est un challenge de chaque jour dans l’application de la pleine de conscience et de l’autocompassion !!
    • Parce que je les éduque, au mieux de mes capacités (et avec le moins de jugement possible) avec pleine conscience et autocompassion. C’est possible !
    • Parce que « non » la conscience et l’autocompassion ne sont pas dangereuses pour nos enfants (voir « Recherches » ci dessous)
    • Parce que je ressens VRAIMENT la différence (avec une éducation qui n’en contient pas) et parce que c’est SAVOUREUX et PROFOND.
    • Parce que nos enfants ressentent la différence, et nous témoignent du bien-être inestimable que c’est pour eux.

     BIENFAITS

    pour la famille

    la santé mentale

    des parents et

    des ados

     les besoins

    d’un adolescent

    La pleine conscience et l’autocompassion ont de nombreux bénéfices démontrés depuis ces dernières années, et les programmes dits « longs » (au-delà de 9 séances) font l’objet de suivis cliniques sur les participants avec des effets positifs démontrés des années après le programme dans tous les pays où ils existent. Vous trouverez sur internet et en librairie de nombreux articles validant ces points.

    Ces programmes, à la différence d’ateliers ou de séances court-terme, permettent vraiment l’intégration de ces pratiques au quotidien et le changement des comportements par un effet de neuro-plasticité (et ce encore plus à l’adolescence). Ceci est maintenant étudié depuis les années 1970 et pour l’autocompassion depuis les années 2000. C’est pourquoi il est important de s’engager sur ces rencontres sur 5 mois, avec une pratique régulière, installée comme une routine. C’est un pilier pour une bonne santé mentale, où nous « apprenons à apprendre ». 

    • Part de l’environnement dans la restructuration du cerveau à l’adolescence (C. Fahim, 2019) 60% 60%

    Un enfant a tout aussi besoin de conscience et d’autocompassion qu’un adulte !

    Est-ce qu’assister à ce programme veut dire ne plus jamais avoir de problèmes avec ses enfants ou ses parents ?!

    Bien évidemment, non ! Nous resterons humains. Ce programme va nous permettre d’avoir toutes les ressources nécessaires et de nouveaux réflexes lorsque la relation avec le parent – l’enfant est difficile (et c’est souvent), de façon à rester connecter ensemble dans ces moments, et ne pas avoir nos vieux mécanismes de défense qui empirent la situation, amplifient la souffrance et le sentiment d’isolement et de séparation.

    Bénéfices de l'autocompassion →
    Q

    Physiologiquement, autocritique, autojugement et isolement sont des réactions de stress lorsque la menace est tournée vers l’intérieur. Ils activent notre système de défense, produisant cortisol et adrénaline ce qui dérégule l’équilibre du corps. L’autocompassion fait appel au système nerveux autonome et active une réponse d’auto-apaisement.

    Selon les recherches scientifiques, la pratique d’auto-compassion :

    • permet la production d’ocytocine et d’opiacés
    • réduit les états mentaux négatifs (anxiété, stress, rumination, refoulement, perfectionnisme, honte)
    • augmente les états mentaux positifs (résilience, connexion, satisfaction, confiance en soi, gratitude, optimisme)
    • permet de se rétablir plus rapidement après une déception/ une difficulté
    • meilleure adaptation – résilience
    • moins peur de l’échec, de la comparaison
    • motivation, désir d’apprendre, de grandir
    • dispositions à s’excuser et se pardonner, moins de critiques relationnelle/parentales
    • image corporelle plus saine (moins de préoccupations et de honte)
    • réduction des risques de burn-out
    • plus de comportements de soutien et de réconfort
    • diminution des comportements contrôlant et agressif verbalement
    • moins d’épuisement et de fatigue de compassion pour les soignants
    • meilleure acceptation de nos émotions et de ce que nous sommes
    • meilleure intelligence émotionnelle
    • diminue le « syndrome de l’imposteur »
    • agit comme protection contre le stress post-traumatique
    • atténue les effets de détresse liée au diabète
    • sentiment d’être une personne complète et adéquate ce qui donne du sens et de la motivation
    Bénéfices de la pleine conscience →
    Q

    La pleine conscience bénéficie d’études scientifiques tendant à démontrer qu’elle agit positivement sur la santé physique et mentale, et est donc un excellent complètement dans le traitement de :

    • la régulation du stress et de l’anxiété

    • la douleur

    • la régulation des ruminations

    • la détresse psychologique

    • la diminution des réactions impulsives (agressivité, colère, fuite, frustration, etc.)

    • l’augmentation de la capacité d’attention et de concentration

    • le sommeil

    • les addictions, troubles alimentaires, tabagisme ..

    • la prévention du burn-out

    • la fatigue

    • diverses pathologie médicales et maladies chroniques : la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la fibromyalgie, les maladies cardio-vasculaires, l’obésité, les troubles gastro-intestinaux, le VIH, le diabète de type 2, les cancers, le syndrome du colon irritable, l’asthme …

    • certaines pathologies liées au stress : inflammation, psoriasis, hypertension, fonctions immunitaires

    C’est la relation que nous entretenons à nous-mêmes, aux autres et au monde qui progressivement peut s’apaiser, en observant plus clairement ce qui génère du stress et de l’insatisfaction. En cela les effets positifs de la pleine conscience ne se limitent pas à la réduction du stress et à la régulation émotionnelle, ils nourrissent également : ​

    • la capacité à prendre soin de nous mêmes
    • la confiance en nos ressources internes
    • la possibilité de prendre les justes décisions pour nous
    • le discernement
    • les relations et communications interpersonnelles
    • la conscience de la valeur de la vie
    • l’estime de soi
    • une énergie et un enthousiasme
    • la capacité à aborder les situations stressantes de court terme ou de long terme
    • l’habilité à aborder la douleur dans ses différentes formes
    • la concentration et l’efficacité
    • la résilience et la capacité à récupérer plus rapidement après des situations stressantes ou déstabilisantes
    • notre liberté par rapport aux schémas réactifs habituels
    • notre bienveillance pour nous mêmes et les autres, l’empathie
    • notre curiosité et notre adaptation
    • l’acceptation des événements du quotidien
    Bénéfices pour les ados →
    Q

    – de pouvoir trouver de la sécurité auprès du parent qui pratique (et qui pose le modèle)
    – se sentir vu, reconnu, entendu, inclus dans une société où ce stade de l’adolescence s’allonge (de 10 à 20 ans) avec une identité pour l’enfant difficile à gérer (ni enfant ni adulte – peu de contribution au collectif – pas de statut vraiment défini – des responsabilités ambivalentes). Il a été étudié que cette période n’existait pas auparavant (la jeunesse travaillait) et qu’elle est particulièrement anxiogène.
    – augmentation des niveaux de résilience et d’intelligence émotionnelle
    – amélioration des fonctions cognitives
    – amélioration du bien-être, du plaisir à vivre, en réinvestissant les sens plutôt que le mental
    – amélioration des relations avec autrui (famille – amis – professeurs etc ..) à un âge où il est souvent difficile de prendre du recul et où les émotions sont plus intenses car le cerveau est en construction.
    – meilleure implication dans les projets du quotidien.
    – meilleure connaissance de soi, de son fonctionnement, du corps, et prise de recul par rapport aux changements
    – trouver sa place dans un groupe, améliorer sa communication interpersonnelle
    – capacité à prendre soin de soi en étant conscient de ses émotions
    – diminuer les boucles de rumination, prendre du recul sur les schémas mentaux
    – acquérir la confiance en nos ressources internes et rétablir l’estime de soi
    – comprendre ses différences (unicité) mais aussi sa ressemblance avec les autres (universalité)
    – maintenir « l’estime de soi » (un vrai challenge à cet âge avec les réseaux sociaux)
    – la capacité à aborder les situations stressantes de court terme ou de long terme
    – la capacité à aborder la douleur (physique-morale) dans ses différentes formes
    – la capacité à récupérer plus rapidement après des situations stressantes ou déstabilisantes
    – promouvoir la curiosité, l’adaptation, la résilience, l’acceptation des évènements du quotidien
    – développer de la bienveillance pour la personne que nous sommes, et envers les autres
    – explorer sa voix critique intérieure qui peut être exacerbée à ces âges, la reconnaitre et ne plus se laisser abuser par celle-ci.

    C'est quoi pour moi prendre soin d'un enfant →
    Q

    Des questionnements que l’on peut laisser résonner .. sans jugement pour les réponses qui peuvent émerger, toutes légitimes et probablement bien universelles.

    • Qui d’autres que moi pour vraiment prendre soin de mon enfant ?
    • C’est quoi « prendre soin » .. « être là pour » ? Est-ce nourrir une relation profondément connectée et soutenante même dans les moments où l’enfant lutte ?
    • Ce temps que je peux passer à « éduquer », est-ce-que je le prends vraiment ?
    • Suis-je dans l’attente que d’autres prennent soin de mon enfant ? (l’école ? la famille élargie ? le conjoint ? les frères et soeurs ? le système de soin, de santé, de psychologues ? ..) Comment est-ce que j’envisage ma responsabilité ?
    • Ai-je pu penser, par moment, que la transmission de la construction du « bonheur », ça se délègue ?
    • Ai- je pu, par moment, me dire que je pourrais faire autrement, mais sans savoir « comment »?
    • Ai-je pu penser, parfois, « oh ça va, les enfants sont résilients par nature, ils n’ont besoin de tant d’attention que ça pour grandir ? »
    • Ai-je parfois, pu me tourner de façon habituelle, par besoin de me remplir, ou par évitement, vers beaucoup de temps passé avec ma communauté professionnelle ?
    • M’arrive t-il de dégager beaucoup de temps et de ressources pour « oeuvrer » avec engagement et sincérité, à l’extérieur de mon foyer, pour le bien être des autres ?

    Et en même temps, n’y a t-il là, tout près, un enfant qui bénéficierait et apprendrait tellement de ces ressources que nous avons à offrir, par notre simple présence connectée et chaleureuse à son expérience ? 

    Ce premier pas n’est il pas celui qui peut tout changer, la première graine à semer ?

    Et peut-être, si c’est envisageable pour nous, de contempler également .. « c’était comment pour moi quand j’étais jeune ? me suis-je senti vu, entendu, reconnu, pris en compte, guidé, accompagné, écouté, connecté ? »

    Peut-être ai-je envie d’offrir autre chose que ce que j’ai reçu, car cela a pu faire mal.

    Notre responsabilité est aussi une merveilleuse opportunité de trouver du sens à notre existence !

    Et .. comment est-ce-que moi je prends soin de moi ? Et comment est-ce que mon enfant prend soin de lui ? Vous pouvez remplir ensemble cette échelle d’autocompassion à imprimer à la maison 

    Quizz ado →
    Q
    • A quelle époque est apparue la notion sociale « d’adolescence » ?
    • L’adolescence, cela concerne quel âge ?
    • En %, quelle est la maturité du cerveau d’un adolescent ?
    • Quelles sont les 3 grandes étapes (transformations) du remodelage du cerveau de l’adolescent (pour devenir adulte) ?
    • Quelles sont les diverses transformations à l’adolescence ?
    • Quels sont les comportements principaux qui caracterisent l’adolescence (en raison du remodelage du cerveau ?)
    • Quelles sont les compétences psychosociales qu’il est important de développer à cet âge ? (pour une plasticité neuronale qui permette de devenir un adulte plein de ressources)
    • Quels sont les 11 besoins fondamentaux d’un ado
    • % d’adolescents présents sur les réseaux sociaux
    • Quelle est la 1re source de stress pour un adolescent ?

    « Accompagner ne signifie pas inculquer. Accompagner c’est être en présence de l’autre pour l’aider à se repérer et lui permettre d’avancer dans ses objectifs ». Mireille Cifali.

    Le contexte actuel où l’environnement est en fluctuation permanente  oblige à la flexibilité mentale et comportementale. Cela a poussé les chercheurs à redéfinir récemment  les compétences qui doivent être assurées aux jeunes pour leur permettre de devenir des adultes aptes à évoluer. 

    Nous souhaiterions que nos enfants bénéficient de cet environnement dans le système scolaire, et c’est parce que cela n’est guère souvent possible que ce programme a vu le jour : 

    Tout le programme MBGP est orienté au service de ces objectifs : le CONTENU (la pleine conscience et l’autocompassion viennent nourrir toutes ces compétences psychosociales* – *CPS) et la FORME qui – en invitant parent et enfant dans l’apprentissage – répond enfin aux besoins d’accompagnement, de repères et d’éducation globale, tel que promu par l’OMS et les référents du bien-être adolescents.


    * source : les compétences psychosociales : un référentiel pour un déploiement auprès des jeunes enfants –
    Synthèse de l’état des connaissances scientifiques et théoriques – Février 2022

    Comment

    ce programme

    d’accompagnement

    répond

    aux besoins

    psychosociaux

    des adolescents ?

    Q

    Les programme CPS probants comportent trois éléments clés :

    1) le développement des CPS cognitives, émotionnelles et sociales

    2) des méthodes pédagogiques interactives et expérientielles

    3) un apport de connaissances (fondées sur les données probantes) en lien avec les thématiques abordées

    Facteurs communs aux interventions efficaces :

    Facteur principal 1 : une intervention structurée et focalisée

    Plusieurs méta-analyses ont mis en évidence la nécessité d’avoir recours à des interventions SAFE :

    « S »  – une intervention Structurée (ensemble d’activités CPS organisées et coordonnées)

    « A »-  pédagogie Active (apprentissages qui nécessitent la participation actives des personnes (jeux de rôle, partage d’expérience…)

    « F » – intervention Focalisée

    « E » – intervention Explicite (objectif et enseignement clairement présentés)

    Facteur principal 2 : une implantation de qualité́

    Les intervenants doivent être en capacité de réaliser pleinement les ateliers, de les incarner et d’avoir bénéficié d’une formation de qualité́.

    Facteur complémentaire 1 : des contenus fondés sur les connaissances scientifiques actuelles

    Les programmes probants sont fondés sur les modèles théoriques et scientifiques de la psychologie sociale et de la psychologie clinique appliquées aux domaines de l’éducation et de la pédagogie. Les connaissances théoriques transmises durant les ateliers CPS doivent aussi être fondées sur les modèles et données scientifiques actuelles.

    Facteur complémentaire 2 : des ateliers intensifs qui s’inscrivent dans la durée

    Même s’il existe une certaine variabilité́ dans la durée des programmes probants, chaque séance de groupe dure environ une heure pour les enfants et 2 heures pour les parents. Ces séances sont le plus souvent hebdomadaires. Un minimum de 10 séances (avec des séances de renforcement dites « booster » quelques semaines après) sont nécessaires pour démontrer un effet à court terme sur des dimensions spécifiques telles que les symptômes anxieux. Pour obtenir des effets durables et plus vastes (sur le bien-être et la santé mentale en général, par exemple), l’intervention doit être suffisamment longue (plus de 20 heures par an, et peut s’étaler sur plusieurs années.

    Facteur complémentaire 3 : des ateliers structures qui s’appuient sur des supports formels

    Les programmes CPS probants utilisent tous des supports formels qui permettent d’accroitre la qualité́ de réalisation et de transférabilité́. Les intervenants proposent aux bénéficiaires un support (sous forme de livret ou d’outil) afin de faciliter l’appropriation. Enfants et parents peuvent ainsi expérimenter et renforcer par eux-mêmes, durant la séance ou bien à leur domicile.

    Facteur complémentaire 4 : une pédagogie positive et expérientielle

    Les interventions probantes cherchent à reproduire les conditions naturelles d’apprentissage et de développement des CPS. En effet, même si les enfants apprennent en partie grâce aux instructions qui leur sont données par un adulte, c’est principalement par l’expérience, les interactions, l’observation et l’imitation que les apprentissages se font.

    Facteur complémentaire 5 : des pratiques informelles

    L’efficacité́ d’une intervention varie en fonction de la possibilité́ qu’a l’enfant d’expérimentera dans son quotidien. Les ateliers bien qu’essentiels et porteurs, représentent un temps minime dans la vie de l’enfant. Ces temps d’apprentissage formels et privilégiés doivent être complétés par des pratiques informelles répétées au quotidien.

    Facteur complémentaire 6 : un environnement éducatif soutenant

    Il est essentiel que l’ile programme mis en œuvre soit en cohérence avec les acteurs et le milieu d’implantation. Il est nécessaire de pouvoir impliquer et associer les parents

     

     

    Q

    Les programme CPS probants comportent trois éléments clés :

    1) le développement des CPS cognitives, émotionnelles et sociales

    2) des méthodes pédagogiques interactives et expérientielles

    3) un apport de connaissances (fondées sur les données probantes) en lien avec les thématiques abordées

    Facteurs communs aux interventions efficaces :

    Facteur principal 1 : une intervention structurée et focalisée

    Plusieurs méta-analyses ont mis en évidence la nécessité d’avoir recours à des interventions SAFE :

    « S »  –  une intervention Structurée (ensemble d’activités CPS organisées et coordonnées)

    « A »-  pédagogie Active (apprentissages qui nécessitent la participation actives des personnes (jeux de rôle, partage d’expérience…)

    « F » – intervention Focalisée

    « E » – intervention Explicite (objectif et enseignement clairement présentés)

    Facteur principal 2 : une implantation de qualité́

    Les intervenants doivent être en capacité de réaliser pleinement les ateliers, de les incarner et d’avoir bénéficié d’une formation de qualité́.

    Facteur complémentaire 1 : des contenus fondés sur les connaissances scientifiques actuelles

    Les programmes probants sont fondés sur les modèles théoriques et scientifiques de la psychologie sociale et de la psychologie clinique appliquées aux domaines de l’éducation et de la pédagogie. Les connaissances théoriques transmises durant les ateliers CPS doivent aussi être fondées sur les modèles et données scientifiques actuelles.

    Facteur complémentaire 2 : des ateliers intensifs qui s’inscrivent dans la durée

    Même s’il existe une certaine variabilité́ dans la durée des programmes probants, chaque séance de groupe dure environ une heure pour les enfants et 2 heures pour les parents. Ces séances sont le plus souvent hebdomadaires. Un minimum de 10 séances (avec des séances de renforcement dites « booster » quelques semaines après) sont nécessaires pour démontrer un effet à court terme sur des dimensions spécifiques telles que les symptômes anxieux. Pour obtenir des effets durables et plus vastes (sur le bien-être et la santé mentale en général, par exemple), l’intervention doit être suffisamment longue (plus de 20 heures par an, et peut s’étaler sur plusieurs années.

    Facteur complémentaire 3 : des ateliers structures qui s’appuient sur des supports formels

    Les programmes CPS probants utilisent tous des supports formels qui permettent d’accroitre la qualité́ de réalisation et de transférabilité́. Les intervenants proposent aux bénéficiaires un support (sous forme de livret ou d’outil) afin de faciliter l’appropriation. Enfants et parents peuvent ainsi expérimenter et renforcer par eux-mêmes, durant la séance ou bien à leur domicile.

    Facteur complémentaire 4 : une pédagogie positive et expérientielle

    Les interventions probantes cherchent à reproduire les conditions naturelles d’apprentissage et de développement des CPS. En effet, même si les enfants apprennent en partie grâce aux instructions qui leur sont données par un adulte, c’est principalement par l’expérience, les interactions, l’observation et l’imitation que les apprentissages se font.

    Facteur complémentaire 5 : des pratiques informelles

    L’efficacité́ d’une intervention varie en fonction de la possibilité́ qu’a l’enfant d’expérimentera dans son quotidien. Les ateliers bien qu’essentiels et porteurs, représentent un temps minime dans la vie de l’enfant. Ces temps d’apprentissage formels et privilégiés doivent être complétés par des pratiques informelles répétées au quotidien.

    Facteur complémentaire 6 : un environnement éducatif soutenant

    Il est essentiel que l’ile programme mis en œuvre soit en cohérence avec les acteurs et le milieu d’implantation. Il est nécessaire de pouvoir impliquer et associer les parents

    La santé psychique est un bien-être multidimensionnel (OMS 1946) qui comprend:

    • Le bien-être physique : sensation d’être à l’aise dans son corps, capacité de pourvoir aux besoins physiques : alimentation, sommeil, mouvement, etc.
    • Le bien-être psychique : sentiment de contentement général, optimisme, joie de vivre, sentiment de compétence dans sa vie en général, satisfaction de son image corporelle, etc.
    • Le bien-être social : expression des sentiments, se sentir reconnu et aimé, estime de soi, confiance et sécurité dans les relations sociales, etc.

    Promouvoir la santé psychique des adolescents exige ainsi une approche multidimensionnelle qui est notamment soutenue par les principes d’action suivants :

    • s’intérésser aux adolescents et favoriser leur participation (OMS)
    • soutenir la découverte, le développement et le renforcement des ressources personnelles
    • développer des contextes basés sur les droits humains (côtoyer des adultes inspirants)
    • soigner la posture des adultes

    L’adolescent a besoin de :

    • une éducation globale
    • de compétences psychosociales (capacité d’une personne à faire face aux défis de la vie quotidienne) émotionnelles, cognitives et sociales
    • trouver des repères
    • cohérence (je sais ce qui se passe – je peux le faire – cela en vaut la peine)
    • estime de soi (confiance / compétences / connaissance de soi / appartenance)
    • résilience

    La santé psychique des adolescents se compose de dimensions à la fois individuelles et sociales qui s’interpénètrent. La promouvoir consiste donc à développer des environnements éducatifs et de vie ainsi que des accompagnements qui vont favoriser un équilibre dynamique entre ces différentes dimensions de leur vie.
    Une éducation globale soutient le développement complet de la personne. Elle intègre l’ensemble des dimensions de l’être humain, en lien avec son environnement. Elle permet de prendre en compte la complexité de la réalité et les in- teractions entre les différents domaines et contextes de la vie. Elle s’appuie sur les valeurs de respect, d’égalité, de non-discrimination et d’autodétermination des droits humains. Elle fait confiance aux ressources propres de la personne et met l’accent sur les compétences psychosociales (UNESCO et OCDE)

    Besoins fondamentaux des ados →
    Q

    En 2002, Deci et Ryan, dans leur théorie de l’autodétermination mettent en évidence trois besoins psychologiques fondamentaux essentiels à la croissance, à l’intégrité et au bien-être de chaque être humain: le besoin d’autonomie, de compétence et de relation à autrui (affiliation). Quand ces besoins sont satisfaits, l’organisme connait la vitalité, la cohérence interne (Sheldon & Elliot, 1999) et l’intégration psychologique (Deci & Ryan, 1991) qui soutiennent la réalisation de soi.

    Michel Fize, sociologue français spécialiste de l’adolescence, de la jeunesse et de la famille met en évidence « sept besoins capitaux » des adolescents : 

    • Le besoin de confiance
    • Le besoin de sécurité
    • Le besoin de responsabilité 
    • Le besoin d’espoir
    • Le besoin de dialogue
    • Le besoin d’autonomie
    • Le besoin d’affection

    Au coté de ces sept besoins essentiels Michel Fize mentionne également quatre besoins complémentaires: le besoin de présence d’adultes, de reconnaissance, d’appartenance et d’intimité.

    Nous sentons alors comment ce programme qui invite le parent et l’enfant vient répondre directement à ces besoins.

    Le besoin de relation reste fort à l’adolescence, et un tel programme va justement constituer espoir, engagement, confiance, avec la possibilité justement d’être plus autonome émotionnellement à la fin du programme, et d’installer une nouvelle forme de sécurité intérieure et de dialogue. Toutes les composantes nécessaire à sa bonne santé psychique.

    10 compétences psychosociales des enfants →
    Q

    3 CPS cognitives (avoir conscience de soi, capacité de maîtrise de soi, prendre des décisions constructives)

    3 CPS émotionnelles (avoir conscience de ses émotions et de son stress, réguler ses émotions et gérer son stress)

    3 CPS sociales (communiquer de façon constructive, développer des relations constructives, et résoudre des difficultés)

     

    Trouver des repères →
    Q

    L’adolescence est une période d’ambivalences, d’oscillation entre des besoins contraires : d’autonomie et de repères, d’innovation et de stabilité, de liberté et d’appartenance, de singularité et de conformisme. Accompagner les jeunes dans leur recherche d’équilibre c’est les aider à trouver des repères et à :

    • se connaître : permettre d’identifier leurs propres qualités, forces, talents, valeurs, mais aussi leurs vulnérabilités et limites ;
    • croire en eux: donner la possibilité́ de mettre en action leurs compétences propres et de réussir les tâches proposées en les considérant comme des partenaires et des interlocuteurs valables. Un des rôles des adultes consiste à leur fournir des terrains d’expérience qui leur permettent d’exercer leurs compétences et de participer aux prises de décision qui les concernent. Croire en soi est le résultat d’un processus où la personne a pu vivre des expériences qui lui ont permis de se sentir compétente ;
    • se sentir bien et être en mesure d’effectuer des choix positifs pour leur santé : les aider à reconnaitre leurs propres besoins en sommeil, alimentation, mouvement et à faire les choix qui permettent d’y répondre adéquatement; soutenir les activités de loisirs ressourçantes, aider au développement du sentiment d’être en bonne santé́, etc. ;
    • se sentir à l’aise avec les autres : proposer des environnements sécurisants dans lesquels il est possible d’entrer en lien avec les autres sans risque d’être moqués ou harcelés et des situations qui permettent d’entraîner les compétences de communication, empathie, négociation et positionnement ;
    • trouver leur place dans le monde : les aider à distinguer entre les opportunités qui conviennent et celles qui ne conviennent pas, à percevoir leurs ressentis face à de nouvelles situations, à tester les exigences de la vie autonome et indépendante, à s’engager pour des causes et à se sentir utiles
    Résilience →
    Q

    La résilience est une compétence d’adapation qui désigne la capacité d’une personne à surmonter les crises du cycle de vie et à rebondir face à l’adversité en tirant parti des ressources personnelles et sociales et en les utilisant comme une opportunité de dé- veloppement. Elle est soutenue par : 

    • la découverte d’un sens positif à sa vie ;
    • des repères clairs pour fonctionner ;
    • le sentiment d’avoir une certaine prise sur sa vie ;
    • une image de soi positive mais sans illusions ;
    • une série de compétences psychosociales ;
    • la capacité à se projeter ;
    • un sens de l’humour constructif.
    Se connaitre et trouver sa place →
    Q

    Témoignages … ce que nos  programmes vous apportent vraiment !

    « Ophélie est une intervenante de qualité. Elle sait amener le groupe à comprendre les émotions et comment bien vivre avec les autres. Un vrai apport pour les élèves »

    Sandra Jolivet

    Professeur de mathématiques - Coordinatrice, Collège St Joseph - Challand (85)

    Marie

     

     « J’ai repris confiance en moi »

     

     

    Simon

    « Je peux enfin être moi-même »

    Clément

    « J’ai compris ce qu’était une émotion »

    Lucas

    « J’arrive mieux à me canaliser »

    Julien

    « Je gère mieux mon stress et les sentiments des autres »

    Méline

    « J’ai appris que quand j’ai un souci, ce n’est pas rien »

    Margaux

    « Maintenant je sais que peu importe qui je suis, je suis magnifique »

    Antoine

    « J’ai appris à comprendre mes modes de communication »

    Baptiste

    « Je ne suis plus toujours dans le négatif »

    Lily

     « J’ai appris que des choses tristes peuvent se passer, mais qu’il peut aussi y avoir quelque chose de bien qui va en ressortir plus tard, il y a les 2 cotés des choses, et ca avant, j’avais du mal à le voir »

    Lila

     « J’ai vraiment réussi à changer mon mode de communication avec mes parents et ma soeur, ca c’est amélioré »

    Pacome

    « Une histoire m’a vraiment aidé, et j’ai compris que quand quelquechose ne marche pas, il ne faut pas toujours faire ce qu’on avait fait avant, on peut essayer autre chose et prendre de nouvelles décisions »

    Johanna

     « Avec les exercices de communication, j’ai compris que ca pouvait m’aider pour mes relations »

    Clement

     « Moi je suis anxieux et sensible, et toute la partie sur le stress ca m’a vraiment aidé »

    Sasha

    « Sur la confiance en moi, ca a changé quelque chose »

    Antonin

     « La séance avec les post-it car c’est dur de voir nos propres qualités ,et ca m’a fait du bien de voir toutes les qualités que les autres me trouvaient. Ca donne confiance »

    Madame L - Professeur d'espagnol

     

    « Je suis assez stressée donc tout cela m’a paru bien utile sur la notion de confiance, de se fixer des objectifs et de se tourner vers le positif ».

    M. Borcard Sacco - Ecrivaine et Psychologue

    Ophélie est une instructrice chevronnée, attentionnée et pleine de finesse dans son accompagnement pour soutenir l’éclosion des capacités d’autocompassion. Merci beaucoup à Ophélie d’incarner cette compétence essentielle à notre époque ! »

    Nathalie Bonhouvrier - Thérapeute et enseignante de méditation

    Ophélie incarne vraiment la compassion, l’humilité, la patience et la parole juste. Elle est vraiment au service de l’autre et déploie avec générosité des trésors d’imagination pour rendre les choses très accessibles pour chacun (…) Hâtez-vous lentement vers son nouveau programme pour parents et enfants, car la compassion révolutionne les rapports familiaux et offre des clés pour embarquer vers un bonheur durable

    Magali - Maman d'élèves

    Les ateliers de méditation pleine conscience ont permis à mes filles de mettre des mots sur leurs ressentis, et surtout de relativiser. Depuis la valorisation et le positivisme sont beaucoup plus présents dans notre quotidien. Merci ! 

     
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